"Plusieurs mains jaillirent instantanément de l'eau et agrippèrent Sophie à ses poignets, à ses chevilles, à sa gorge!
Elle tenta de faire appel à son second gardien, dans sa chevelure, mais ne pouvait inspirer ni expirer. "Coccinelle, coccinelle, COCCINELLE!", pensa-t-elle le plus fort qu'elle put! Tout devint sombre.
Sophie se réveilla dans la grange, ses mains serrées autour de son cou, et des restes d'insecte écrasé entre.

N'importe qui aurait interprété cette histoire comme un cauchemar particulièrement mauvais, si elle n'avait pas été trempée, et couverte de lentilles d'eau. La rivière, par contraste, s'était entièrement asséchée dans la nuit, et plus jamais ne coula. Les gens cherchèrent des coupables, bien sûr. Mais Sophie s'était enfuie de par les bois en hurlant, et ne revint pas."

Anne de Maumesnil, Prose du Sentier

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The whole roommate story is starting to blow over, there are fallouts from time to time which demand my attention, but it should go better from here.
For now, the page is on time and that’s already something 🙂
Thank you for bearing with me!